Pour La Chaîne de l’Espoir, assurer la promotion de « 24 jours pour 24 enfants », l’opération annuelle de collecte de fonds destinée à faire connaître les actions de l’association.
En ces temps de constant appel à la générosité et de dénonciation d’un « charity business », il devient particulièrement difficile de communiquer lorsque l’on est une petite association ne disposant pas d’un budget média colossal et ne figurant pas dans le top 10 des causes préférées des Français. Ainsi, quand on s’appelle La Chaîne de l’Espoir et qu’on monte une opération de fin d’année consistant à sauver 24 enfants malades issus de pays pauvres en 24 jours, comment faire pour sensibiliser un public déjà noyé sous les sollicitations ?
Une flashmob dansante et onirique pour lancer « 24 jours pour 24 enfants »
Paris, le 29 novembre, 11h, sous la pyramide du Louvre, plusieurs couples de danseurs étoiles s’élancent au son du Beau Danube Bleu. Très vite, sous le regard ébahi des touristes, ce sont quelques centaines de danseurs, professionnels et amateurs, qui les rejoignent pour une chorégraphie pleine de gaieté et d’optimisme avant de se fondre à nouveau dans la foule. En guise de signature, des chaussons de danse jonchent le sol. Au dos, une adresse Internet : www.24enfants.org.
L’histoire en direct sur Internet
Dès le 1er décembre, accompagnée par Curiouser, l’histoire se poursuit sur le web, et notamment sur le site www.24enfants.org. Chaque jour, c’est le récit d’un enfant malade qui est livré aux internautes dans toute sa simplicité brute et son concret presque tangible.
Afin de faire vivre l’histoire sur la durée et d’exploiter au mieux sa richesse, c’est tout le dispositif de communication digitale qui a été pensé dans sa globalité : référencement anticipé, outils de community management, widget blog, bannières, et surtout des nouvelles des enfants opérés et sauvés grâce aux dons.
Un Noël inoubliable pour des enfants malades
Un mois après, ces histoires ont continué à réunir les internautes touchés par l’opération – montrant ainsi qu’il est encore possible de communiquer autour d’une belle cause sans bénéficier d’une couverture publicitaire nationale.
En ces temps de constant appel à la générosité et de dénonciation d’un « charity business », il devient particulièrement difficile de communiquer lorsque l’on est une petite association ne disposant pas d’un budget média colossal et ne figurant pas dans le top 10 des causes préférées des Français. Ainsi, quand on s’appelle La Chaîne de l’Espoir et qu’on monte une opération de fin d’année consistant à sauver 24 enfants malades issus de pays pauvres en 24 jours, comment faire pour sensibiliser un public déjà noyé sous les sollicitations ?
Une flashmob dansante et onirique pour lancer « 24 jours pour 24 enfants »
Paris, le 29 novembre, 11h, sous la pyramide du Louvre, plusieurs couples de danseurs étoiles s’élancent au son du Beau Danube Bleu. Très vite, sous le regard ébahi des touristes, ce sont quelques centaines de danseurs, professionnels et amateurs, qui les rejoignent pour une chorégraphie pleine de gaieté et d’optimisme avant de se fondre à nouveau dans la foule. En guise de signature, des chaussons de danse jonchent le sol. Au dos, une adresse Internet : www.24enfants.org.
L’histoire en direct sur Internet
Dès le 1er décembre, accompagnée par Curiouser, l’histoire se poursuit sur le web, et notamment sur le site www.24enfants.org. Chaque jour, c’est le récit d’un enfant malade qui est livré aux internautes dans toute sa simplicité brute et son concret presque tangible.
Afin de faire vivre l’histoire sur la durée et d’exploiter au mieux sa richesse, c’est tout le dispositif de communication digitale qui a été pensé dans sa globalité : référencement anticipé, outils de community management, widget blog, bannières, et surtout des nouvelles des enfants opérés et sauvés grâce aux dons.
Un Noël inoubliable pour des enfants malades
Après un mois, ces histoires continuent de réunir les internautes touchés par l’opération – montrant ainsi qu’il est possible, en 2009, de communiquer autour d’une belle cause sans bénéficier d’une couverture publicitaire nationale.